SOUS ACACIA

<p>MORCEAU D’ARCHITECTURE &#8211; RL NETJER &#8211; G∴L∴T∴I∴  Cela commence toujours de la même façon. Par une connexion. Entre notre réalité tangible qui nous entoure et notre monde intérieur. C’est un retour de la multiplicité à l’Unité, un désir de se relier à plus grand que soi, car « c’est par sa conscience que l’homme est relié [&hellip;]</p>

<p>«&nbsp;…Dans I‘histoire de I‘Alchimie, deux philosophes nous ont paru mériter les honneurs d &lsquo;une monographie, ce sont Paracelse et Nicolas Flamel, le premier à cause de I&rsquo;importance de son Œuvre, le second à cause du grand nombre de détails que nous avons sur sa vie. Enfin ce sont, peut-être avec Albert-le-Grand, les plus connus de [&hellip;]</p>

<p>En Suède, depuis son origine, au 18e siècle, la Franc-maçonnerie et la famille royale sont étroitement liées. Noblesse oblige, depuis 1770, la Grande Loge de Suède est reconnue par la Grande Loge Unie d’Angleterre. De 1774 à 1973, de nombreux rois de Suède ont assuré la fonction de Grand Maître de la Grande Loge de [&hellip;]</p>

<p>Les temples maçonniques américains ont du plomb dans l’aile On constate une désaffection des immenses temples maçonniques américains, pour la plupart construits au XIXe siècle ou au tout début du XXe. Surchargés de boiseries et de tentures inflammables, ils vieillissent mal et deviennent dangereux… Ils souffrent surtout de la décroissance importante des Francs-maçons aux Etats-Unis.</p>

<p>Le temple de David aussi démuni que Job La Gazette des Yvelines relate qu’il y a un an, la municipalité d’Epône &#8211; 78680, en collaboration avec la Fondation du patrimoine, lançait une souscription afin de financer la restauration du temple de David, plus ancien temple maçonnique de France, construit en 1785, afin de diminuer la part communale des travaux, [&hellip;]</p>

<p>La Grande Loge de France et la Grande Loge de l’Alliance  Maçonnique Française s’engagent par un Traité d’amitié et de coopération La Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge de l’Alliance Maçonnique Française (GL-AMF) ont signé un Traité d’amitié et de coopération, engageant les deux Grandes Loges sur une même voie, dans le [&hellip;]</p>

<p>Loi bioéthique : les Obédiences reçues au sénat Il semblerait que les grandes Obédiences aient droit au chapitre. Dans le cadre de l’examen du projet de loi relatif à la bioéthique, la GLFF, la GLMF, la GLDF et le GODF ont été auditionnées par la Commission spéciale du Sénat créée pour la préparation de cette [&hellip;]</p>

<p>Olivier Chebrou de Lespinats, réélu Grand-Maître de la G.L.M.N. Lors du 9ème Convent de la Grande Loge Mixte Nationale, quitus a été donné au Sérénissime Grand-Maître pour l’année écoulée. Olivier Chebrou de Lespinats, a été réélu à l’unanimité pour une 2ème année.</p>

<p>Jean-Baptiste Willermoz : qui est-ce ? Fondateur du Rite Ecossais Rectifié Né le 10 juillet 1730, lyonnais d’origine, Jean-Baptiste Willermoz fait ses premiers pas en Franc-Maçonnerie en 1750 probablement dans la Loge des « Amis Choisis ». A vingt-deux ans, il en devient Vénérable Maître. Ses recherches s’orientent vers l’essence de la Maçonnerie « Je fus persuadé dès [&hellip;]</p>

<p>Aleister Crowley : qui est-ce ? Mage, poète, occultiste, excentrique et Franc-maçon de la Grande Loge de France Lorsque s’intéresse à l’ésotérisme, l’occultisme, la magie et au spiritisme, un nom surgit : Aleister Crowley (1875-1947). Né Edward Alexander Crowley au sein d’une famille protestante aisée et très observante, du courant darbyste. Il reçoit une vision en 1897 et se consacre [&hellip;]</p>

<p>SOUS L’ACACIA 28 décembre 1599, William Schaw, Maître des Travaux, Surveillant des Maçons, signe de nouveaux statuts à l’usage des Maçons écossais. Pourtant, un an auparavant, des statuts devant être observés par tous les Maîtres Maçons du Royaume, avaient déjà été édictés, par lui-même de plus. Que s’est-il passé ? Il semblerait que ces nouveaux statuts [&hellip;]</p>

<p>SOUS L’ACACIA &#8211; Qu’est-ce qu’un Landmark ? La traduction courante de ce terme est : point de repère. Traditionnellement, les Landmarks étaient, pour les maçons opératifs, des marques au sol délimitant la surface de l’édifice à construire pour en définir l’étendue et la forme. Le Landmark est aussi une loi, ancien devoir ou coutume sur laquelle [&hellip;]</p>